Stephane Pruvot
PRESENTATION
"Virtuellement votre.."
Bonjour.
Je fais de la peinture depuis 1985.
J'ai commencé avec une peintre américaine Mildred Thomson qui m'a surtout ouvert sur le dessin en noir et blanc, au crayon et au « Carré Conté » d'après cartes postales et à la réalisation de natures mortes. Ensuite j'ai fait deux années aux cours préparatoire « Claire Marie Neufville et Françoise Comte » dans le Marais rue Chapon. Là j'ai commencé le modèle vivant et l'apprentissage de la couleur, notamment par la réalisation de pochades, et d'études documentaires. C'était un cours préparatoire spécialisé dans le domaine du textile. C'est là que j'ai fait ma première série de peinture sur un même thème : celui du métro (gouache sur papier kraft). L'année suivante je me suis présenté aux Beaux Arts de Paris avec un dossier mais je n'ai pas été sélectionné au concours d'entré. Qu'importe, on m'a présenté un professeur qui faisait l'atelier grand format aux Beaux arts et ce dernier m'a accepté en tant que candidat libre, ce qui m'a permis de continuer le modèle vivant et le travail en noir et blanc, car pour lui on devait partir du noir et blanc pour tendre petit à petit vers des réalisations en couleur. Ce professeur s'appelle Alain Challier. Petit à petit je me suis constitué un dossier et je me suis présenté à d'autre concours d'entrée, notamment à celui des Beaux Arts de Nancy, celui de Montpellier et enfin celui de l'Ecole des Arts Plastique de Cergy Pontoise ou j'ai été reçu en 1987. Après deux année en tronc commun j'ai eu un premier diplôme ensuite je me suis spécialisé vers la communication au sein de cette école qui était très axée sur l'art conceptuel. J'en profitai pour créer dans la peinture tout azimuthe différentes techniques. J'y ai aussi pratiqué la vidéo, la photo, un peu la sérigraphie, l'infographie sur Amiga (j'ai reçus un Prix en 91 à IMAGINA salon des nouvelles images), les techniques de mise en page ainsi que sa réalisation en PAO sur Mac. Il faut dire que c'était l'époque ou l'informatique commençait à remplacer par les techniques manuelles de mise en page et montage, le film et le "Lettrasset". L'outil de la photocopieuse à été aussi important pour moi. J'ai obtenus mon DNAP, il me restait une année encore à faire pour avoir le DNSAP, mais je voulait rentrer dans la vie active et être autonome au point de vue financier et je ne voyait pas l'intérêt de ce diplôme. En parallèle de mes études j'avais travaillé comme dessinateur pour la SAPAC ESCAL, je faisais les dessins des modèles de vêtements ou de chaussures pour les fiches techniques de la centrale d'achat, cela remplaçait les photos. J'ai aussi réalisé pour l'intérieur d'un entrepôt de la société Habitat une décoration sur des toiles de bâches et participé comme intervenant plasticien dans une école primaire et des écoles maternelles, à la réalisation de plusieurs fresques et peintures avec les enfants qui furent exposées.
A la sortie de l'école d'arts plastiques de Cergy Pontoise, je n'ai pas réussi à trouver un emploi correspondant à mes compétences artistiques, même avec la réalisation deux deux stages professionnel, l'un m'ayant permis de travailler en tant que graphiste polyvalent notamment pour la mise en page sur minitel et l'autre dans la réalisation de borne interactive. Donc j'ai dû cesser de créer et m'orienter dans le monde professionnelle de la vente pour subvenir à la vie de tout les jours. Bien que je m'efforçais toujours de prendre des cours de modèle vivant en parallèle et de ne pas arrêter mes carnets. Mon parcours professionnel dans la vente fut remplie de péripéties négatives et je ne trouvais pas la stabilité souhaitée. Aussi début 2000 je me suis remis à la peinture en m'efforçant d'exposer de manière annuelle, pour espérer un jour pouvoir en vivre. Puis, j'ai travaillé en tant qu'intervenant plasticien dans des écoles primaires, dans des MJC, pour des ateliers communaux, ou des associations, mais la réalité professionnelles ma rattrapé et je n'arrivais pas à en vivre, même si cela m'a laissé du temps pour travailler pour moi. Actuellement, je ne vis toujours pas de mon art.
Depuis 2000 donc ma peinture s'est mélangée avec l'infographie ou plus exactement, je pars de photo numérique ou de photo de magazine pour la plupart du temps que je retravaille à la peinture, que je scanne et que j'imprime ... je peux retravailler à nouveau à la peinture acrylique, au pastel à l'huile ou au crayon de couleur pour rendre ce travail unique. Maintenant cela ne m'empêche pas de continuer à peindre ou de dessiner d'après paysage ou modèle vivant, voire d'imagination pour la série des arbres par exemple. Depuis 2008 je mêle l'écriture à mes travaux. Mon dernier projet était au départ de réaliser un travail sur les habitants de Charenton le Pont en noir et blanc, mais actuellement je ne me sens pas à l'aise dans le figuratif, et en fait maintenant j'ai envie de me diriger, plus vers une peinture couleur de type abstraite avec une tonalité bleue ou verte travaillée à partir d'images ou graphismes noir et blanc d'après des photos numériques, vues de gros plan sur le thème de la nature, que j'aurai imprimé sur papier. Papier que je marouflerai (collerai) sur toile (chassies). Mais cela j'espère que ce sera le thème d'une prochaine exposition. Sinon depuis 2019, suite à des problème pour stocker mon travail, et à résoudre le problème de pouvoir montrer mon travail pour un plus grand nombre, je me suis diriger vers le numérique. Les images n'étant pas réellement physique (fichier numérique), donc gain de place chez moi (j'habite dans un studio de 25m2 et je n'ai pas d'atelier), et le travail numérique et très pratique pour les faire partager sur les réseaux sociaux, et donc pour moi, être vue par un plus grand nombre, car il m'était arrivé d'exposer et de recevoir qu'une seule personne à mes vernissages alors que maintenant sur Facebook, je peut partager mon travail avec des centaines de personnes dans le monde de manières journalière.
MERCI
MES MAITRES
J'aime bien la liberté créative de Picasso, le trait et les couleurs de Matisse la poésie de Chagalle. Dans les artistes plus récents j'aime bien les sérigraphies peintes d' Andy Warholl, le travail sur la photo ou le numérique de David Hockney ou de Stefan de Jaeger, les encres ou acrylique sur papier déjà imprimé de Pierre Alenshensky.
J'aime aussi les grandes toiles abstraites de Zao Wou Ki, mais malheureusement je n'en suis pas encore là...
Lorsque je fais des peintures figuratives j'aime bien y mêler des parties abstraites soit par la couleur, la touche, ou le trait, et vice versa. Le fait de peindre sur une image photographiée par exemple, me permets de me réapproprier l'image première tout en l'exprimant picturalement à ma manière, avec des touches de peinture qui recouvrent plus ou moins l'image, comme un filtre.
Je fais de la peinture depuis 1985.
J'ai commencé avec une peintre américaine Mildred Thomson qui m'a surtout ouvert sur le dessin en noir et blanc, au crayon et au « Carré Conté » d'après cartes postales et à la réalisation de natures mortes. Ensuite j'ai fait deux années aux cours préparatoire « Claire Marie Neufville et Françoise Comte » dans le Marais rue Chapon. Là j'ai commencé le modèle vivant et l'apprentissage de la couleur, notamment par la réalisation de pochades, et d'études documentaires. C'était un cours préparatoire spécialisé dans le domaine du textile. C'est là que j'ai fait ma première série de peinture sur un même thème : celui du métro (gouache sur papier kraft). L'année suivante je me suis présenté aux Beaux Arts de Paris avec un dossier mais je n'ai pas été sélectionné au concours d'entré. Qu'importe, on m'a présenté un professeur qui faisait l'atelier grand format aux Beaux arts et ce dernier m'a accepté en tant que candidat libre, ce qui m'a permis de continuer le modèle vivant et le travail en noir et blanc, car pour lui on devait partir du noir et blanc pour tendre petit à petit vers des réalisations en couleur. Ce professeur s'appelle Alain Challier. Petit à petit je me suis constitué un dossier et je me suis présenté à d'autre concours d'entrée, notamment à celui des Beaux Arts de Nancy, celui de Montpellier et enfin celui de l'Ecole des Arts Plastique de Cergy Pontoise ou j'ai été reçu en 1987. Après deux année en tronc commun j'ai eu un premier diplôme ensuite je me suis spécialisé vers la communication au sein de cette école qui était très axée sur l'art conceptuel. J'en profitai pour créer dans la peinture tout azimuthe différentes techniques. J'y ai aussi pratiqué la vidéo, la photo, un peu la sérigraphie, l'infographie sur Amiga (j'ai reçus un Prix en 91 à IMAGINA salon des nouvelles images), les techniques de mise en page ainsi que sa réalisation en PAO sur Mac. Il faut dire que c'était l'époque ou l'informatique commençait à remplacer par les techniques manuelles de mise en page et montage, le film et le "Lettrasset". L'outil de la photocopieuse à été aussi important pour moi. J'ai obtenus mon DNAP, il me restait une année encore à faire pour avoir le DNSAP, mais je voulait rentrer dans la vie active et être autonome au point de vue financier et je ne voyait pas l'intérêt de ce diplôme. En parallèle de mes études j'avais travaillé comme dessinateur pour la SAPAC ESCAL, je faisais les dessins des modèles de vêtements ou de chaussures pour les fiches techniques de la centrale d'achat, cela remplaçait les photos. J'ai aussi réalisé pour l'intérieur d'un entrepôt de la société Habitat une décoration sur des toiles de bâches et participé comme intervenant plasticien dans une école primaire et des écoles maternelles, à la réalisation de plusieurs fresques et peintures avec les enfants qui furent exposées.
A la sortie de l'école d'arts plastiques de Cergy Pontoise, je n'ai pas réussi à trouver un emploi correspondant à mes compétences artistiques, même avec la réalisation deux deux stages professionnel, l'un m'ayant permis de travailler en tant que graphiste polyvalent notamment pour la mise en page sur minitel et l'autre dans la réalisation de borne interactive. Donc j'ai dû cesser de créer et m'orienter dans le monde professionnelle de la vente pour subvenir à la vie de tout les jours. Bien que je m'efforçais toujours de prendre des cours de modèle vivant en parallèle et de ne pas arrêter mes carnets. Mon parcours professionnel dans la vente fut remplie de péripéties négatives et je ne trouvais pas la stabilité souhaitée. Aussi début 2000 je me suis remis à la peinture en m'efforçant d'exposer de manière annuelle, pour espérer un jour pouvoir en vivre. Puis, j'ai travaillé en tant qu'intervenant plasticien dans des écoles primaires, dans des MJC, pour des ateliers communaux, ou des associations, mais la réalité professionnelles ma rattrapé et je n'arrivais pas à en vivre, même si cela m'a laissé du temps pour travailler pour moi. Actuellement, je ne vis toujours pas de mon art.
Depuis 2000 donc ma peinture s'est mélangée avec l'infographie ou plus exactement, je pars de photo numérique ou de photo de magazine pour la plupart du temps que je retravaille à la peinture, que je scanne et que j'imprime ... je peux retravailler à nouveau à la peinture acrylique, au pastel à l'huile ou au crayon de couleur pour rendre ce travail unique. Maintenant cela ne m'empêche pas de continuer à peindre ou de dessiner d'après paysage ou modèle vivant, voire d'imagination pour la série des arbres par exemple. Depuis 2008 je mêle l'écriture à mes travaux. Mon dernier projet était au départ de réaliser un travail sur les habitants de Charenton le Pont en noir et blanc, mais actuellement je ne me sens pas à l'aise dans le figuratif, et en fait maintenant j'ai envie de me diriger, plus vers une peinture couleur de type abstraite avec une tonalité bleue ou verte travaillée à partir d'images ou graphismes noir et blanc d'après des photos numériques, vues de gros plan sur le thème de la nature, que j'aurai imprimé sur papier. Papier que je marouflerai (collerai) sur toile (chassies). Mais cela j'espère que ce sera le thème d'une prochaine exposition. Sinon depuis 2019, suite à des problème pour stocker mon travail, et à résoudre le problème de pouvoir montrer mon travail pour un plus grand nombre, je me suis diriger vers le numérique. Les images n'étant pas réellement physique (fichier numérique), donc gain de place chez moi (j'habite dans un studio de 25m2 et je n'ai pas d'atelier), et le travail numérique et très pratique pour les faire partager sur les réseaux sociaux, et donc pour moi, être vue par un plus grand nombre, car il m'était arrivé d'exposer et de recevoir qu'une seule personne à mes vernissages alors que maintenant sur Facebook, je peut partager mon travail avec des centaines de personnes dans le monde de manières journalière.
MERCI
MES MAITRES
J'aime bien la liberté créative de Picasso, le trait et les couleurs de Matisse la poésie de Chagalle. Dans les artistes plus récents j'aime bien les sérigraphies peintes d' Andy Warholl, le travail sur la photo ou le numérique de David Hockney ou de Stefan de Jaeger, les encres ou acrylique sur papier déjà imprimé de Pierre Alenshensky.
J'aime aussi les grandes toiles abstraites de Zao Wou Ki, mais malheureusement je n'en suis pas encore là...
Lorsque je fais des peintures figuratives j'aime bien y mêler des parties abstraites soit par la couleur, la touche, ou le trait, et vice versa. Le fait de peindre sur une image photographiée par exemple, me permets de me réapproprier l'image première tout en l'exprimant picturalement à ma manière, avec des touches de peinture qui recouvrent plus ou moins l'image, comme un filtre.
Mon travail pictural,
et un travail, ou j'explique ma façon de travailler, et surtout qui montre un processus créatif. En effet depuis ma série des « arbres », j'applique un fonctionnement par rapport aux couleurs et aux fonds. Dans cette série il y a 3 couleurs de fond et du blanc (peut-être que le blanc n'est pas une couleur) ; orange, vert, bleu, et blanc. Et je peints chaque peinture avec la même palette, représentant un arbre pour chaque toile avec des formats différent. C'est une série, qui englobe plusieurs autres séries, les fonds différents, et l'arbre qui est lui-même travaillé de trois manières (chacune étant crescendo dans sa création). Il y a aussi 3 tableaux avec du papier sulfurisé, et 3 autres avec de la sciure de bois collée ; des extras. Il y avait dans ce travail picturale la volonté de faire des mélanges de couleurs seulement pas superposition ou juxtaposition, les couleurs étant mise directement sur la toile sortie du pot sans mélange préalable.
Après 2010 ma série de peintures abstraite sur fond de photos de végétaux numérique (« module ») et aussi un travail sur la couleur. Les fonds numériques, sont encré de bleu, vert et orange. Et ensuite les séries se succèdent avec la superposition de couche picturale ; il n'y a toujours pas de mélange préalable à la touche de peinture, les mélange se font par superposition de couleurs sortie du tube. La variante c'est le collage de mes impressions de photo numérique de végétaux, qui sont découpé se l'on des formes aléatoires, et collées entre elle. Ce qui m'a permis de trouver des lignes, des tracés dans le contour des collages de mes formes découpées, et de les souligner avec mon pinceau de différentes couleurs. Généralement ma palette que ce soit pour les arbres ou cette série abstraite, c'est jaune, orange, bleu claire, vert claire, rouge, bleu foncé, vert foncé et parfois violet. Pourquoi ai-je appelé cette série « module « ; parce que je souhaitais pour l'accrochage pouvoir les mettre l'une à côtés de l'autres, comme mes 2 peintures en croix par exemple. En tout cas il y avait une réflexion sur l'accrochage et de dire que chaque peinture pouvait être misent l'une à côté de l'autre, aussi bien à droite, à gauche, en dessous, en bas, ou créer un rythme d'accrochage entre elle.
En 2019 s'annonce une nouvelle série même si malheureusement je ne suis pas allé au bout de ma série des « modules » entre 2010 et 2016. Cette série je l'ai appelé « Rythme ». Il n'y a plus de fond numérique de végétaux, mais un fond encré avec cette fois ci ; à l'encre bleu, verte, jaune et des traits à l'encre noir au pinceau, et toujours ses formes découpées et collées de manière aléatoire. Ses formes donc de 3 couleurs que je fractionne, 3 unis, 3 deux couleurs et une plus grande 3 couleurs.
Mes prochaines peintures, je pense seront de faire la même série, que j'utiliserai comme fond avec en plus une couche de peinture. Toujours en travaillant sur la superposition des couleurs.
Les deux premières séries sont lié au végétales soit par la forme soit par le fond et je dirais aussi que certaine de mes peintures dans la série module sont proche de l'image que je me fais d'une cellule biologique. J'aimerais pouvoir apporter à ma série « rythme » se coté végétale aussi.
Sinon, j'ai toujours mes peintures infographiques sur le thème de la nature morte, ou là aussi ; je travaille la couleur par superposition, et ou le non-mélange des couleurs sur une palette est présent, et je peints sur des photos numériques imprimées sur du papier. Les illustrations numériques d'après photo numérique (avec couleur restreintes et aplat coloré), ou mes peintures sur magazine (travail de peinture sur une image imprimé ou photo) ; sont des travaux ou, j'ai l'impression de me réapproprier l'image photo, pour en donner une version plus picturale. Les illustrations numériques que je fais se rapproche de ce que je faisais en 1980 avec une palette de couleurs sommaire, et simple. Je travail surtout avec des aplats de couleurs, qui pour moi me font penser au Pop Art, et me rappelle aussi au papier gouaché découpé de matisse et je travail d'après photo ou fichier numérique que je peux trouver sur Internet.
Depuis 2019, donc, je me suis remis à réaliser des images numérique sur PC que je nomme « Digital Painting » sa forme et simple est un retour au source des années 80. Pour moi, Je travail à la souris et avec une palette de couleur limité et des aplats colorés, ce qui défini mon style ; mon code image. Tout cela je le fais volontairement. Donc, je ne travail ni avec un stylet ni avec une palette graphique, c'est réellement un choix plastique. Toutes mes « Digital Painting » sont créer à partir d'autres images numérique principalement des images éphémère que je peux trouver sur la toile sur le net, je me les réapproprie, je les réinterprète, je les détournes pour les réinjecter sur Internet sous forme de NFT ou autres (comme les réseaux sociaux), pour vendre ou me faire connaître.
et un travail, ou j'explique ma façon de travailler, et surtout qui montre un processus créatif. En effet depuis ma série des « arbres », j'applique un fonctionnement par rapport aux couleurs et aux fonds. Dans cette série il y a 3 couleurs de fond et du blanc (peut-être que le blanc n'est pas une couleur) ; orange, vert, bleu, et blanc. Et je peints chaque peinture avec la même palette, représentant un arbre pour chaque toile avec des formats différent. C'est une série, qui englobe plusieurs autres séries, les fonds différents, et l'arbre qui est lui-même travaillé de trois manières (chacune étant crescendo dans sa création). Il y a aussi 3 tableaux avec du papier sulfurisé, et 3 autres avec de la sciure de bois collée ; des extras. Il y avait dans ce travail picturale la volonté de faire des mélanges de couleurs seulement pas superposition ou juxtaposition, les couleurs étant mise directement sur la toile sortie du pot sans mélange préalable.
Après 2010 ma série de peintures abstraite sur fond de photos de végétaux numérique (« module ») et aussi un travail sur la couleur. Les fonds numériques, sont encré de bleu, vert et orange. Et ensuite les séries se succèdent avec la superposition de couche picturale ; il n'y a toujours pas de mélange préalable à la touche de peinture, les mélange se font par superposition de couleurs sortie du tube. La variante c'est le collage de mes impressions de photo numérique de végétaux, qui sont découpé se l'on des formes aléatoires, et collées entre elle. Ce qui m'a permis de trouver des lignes, des tracés dans le contour des collages de mes formes découpées, et de les souligner avec mon pinceau de différentes couleurs. Généralement ma palette que ce soit pour les arbres ou cette série abstraite, c'est jaune, orange, bleu claire, vert claire, rouge, bleu foncé, vert foncé et parfois violet. Pourquoi ai-je appelé cette série « module « ; parce que je souhaitais pour l'accrochage pouvoir les mettre l'une à côtés de l'autres, comme mes 2 peintures en croix par exemple. En tout cas il y avait une réflexion sur l'accrochage et de dire que chaque peinture pouvait être misent l'une à côté de l'autre, aussi bien à droite, à gauche, en dessous, en bas, ou créer un rythme d'accrochage entre elle.
En 2019 s'annonce une nouvelle série même si malheureusement je ne suis pas allé au bout de ma série des « modules » entre 2010 et 2016. Cette série je l'ai appelé « Rythme ». Il n'y a plus de fond numérique de végétaux, mais un fond encré avec cette fois ci ; à l'encre bleu, verte, jaune et des traits à l'encre noir au pinceau, et toujours ses formes découpées et collées de manière aléatoire. Ses formes donc de 3 couleurs que je fractionne, 3 unis, 3 deux couleurs et une plus grande 3 couleurs.
Mes prochaines peintures, je pense seront de faire la même série, que j'utiliserai comme fond avec en plus une couche de peinture. Toujours en travaillant sur la superposition des couleurs.
Les deux premières séries sont lié au végétales soit par la forme soit par le fond et je dirais aussi que certaine de mes peintures dans la série module sont proche de l'image que je me fais d'une cellule biologique. J'aimerais pouvoir apporter à ma série « rythme » se coté végétale aussi.
Sinon, j'ai toujours mes peintures infographiques sur le thème de la nature morte, ou là aussi ; je travaille la couleur par superposition, et ou le non-mélange des couleurs sur une palette est présent, et je peints sur des photos numériques imprimées sur du papier. Les illustrations numériques d'après photo numérique (avec couleur restreintes et aplat coloré), ou mes peintures sur magazine (travail de peinture sur une image imprimé ou photo) ; sont des travaux ou, j'ai l'impression de me réapproprier l'image photo, pour en donner une version plus picturale. Les illustrations numériques que je fais se rapproche de ce que je faisais en 1980 avec une palette de couleurs sommaire, et simple. Je travail surtout avec des aplats de couleurs, qui pour moi me font penser au Pop Art, et me rappelle aussi au papier gouaché découpé de matisse et je travail d'après photo ou fichier numérique que je peux trouver sur Internet.
Depuis 2019, donc, je me suis remis à réaliser des images numérique sur PC que je nomme « Digital Painting » sa forme et simple est un retour au source des années 80. Pour moi, Je travail à la souris et avec une palette de couleur limité et des aplats colorés, ce qui défini mon style ; mon code image. Tout cela je le fais volontairement. Donc, je ne travail ni avec un stylet ni avec une palette graphique, c'est réellement un choix plastique. Toutes mes « Digital Painting » sont créer à partir d'autres images numérique principalement des images éphémère que je peux trouver sur la toile sur le net, je me les réapproprie, je les réinterprète, je les détournes pour les réinjecter sur Internet sous forme de NFT ou autres (comme les réseaux sociaux), pour vendre ou me faire connaître.
Texte de présentation depuis 2020 Depuis que je fais des Digital Painting.
Bonjour, je m'appelle Stephane PRUVOT. Je suis Français. Je fais de la peinture depuis 1985. je m'intéresse aussi à l'informatique depuis longtemps, mon premier ordinateur je l'ai eu en 1980.
En 1991 j'ai été Lauréat pour la réalisation d'une image numérique sur le thème du rock, avec la société RICARD, à IMAGINA (festival des nouvelles images à Montécarlos). J'ai un Diplome Nationnal D'art Plastique, obtenue en1992.
Mon travail picturale, est principalement une recherche de la réappropriation d'une image, qu'elle soit dans un magazine, ou photo argentique, ou numérique. Cela peut-être vue comme une réinterprétation de l'image, ou pourquoi pas un détournement. Mes thématiques reste classique, et sont associés je pense à l'histoire de l'art (je suis très attaché à cela pour l'instant), mes thématiques peuvent être le portrait, ou la nature morte, le paysage, etc... Depuis 2019, je me suis remis à faire des images numérique le travail globale sont des « Digital Painting » (depuis 2019 j'en ai réalisé plus de 1000). Ils se divisent en différentes recherche, mais toujours sur le même « principe » artistique : 1)D'après photo numérique que je réalise. 2) D'après des photos numérique que je trouve uniquement sur Internet( reproduction de peinture d'autres artistes, selfies, photo, etc), et enfin 3) d'après mon propre travail artistique antérieur. Essentiellement dans ce travail, je travail avec des aplats de couleur numérique et ma Palette est limité reprenant une palette de couleur que l'on pouvait facilement retrouver sur un logiciel graphique de base avec seulement 32 couleurs (actuellement j'utilise Paint.net)... C'est surtout le travail de Matisse avec ses papiers découpé qui m'en à donner l'idée de travailler dernièrement avec des aplats coloré. Le travail de Alenshensky de travailler son médium sur des documents déjà imprimé m'a aussi inspiré, ainsi que le travail récent de David Hockney pour ses peinture numérique. Je suis conscient que le format d'un travail est important, plus il est grande plus il peut s'imposer, et le changement d'échelle de sa figuration peut-être aussi intéressant, par ce biais là. De travaillé la lumière, et donc d'exposer non pas des « impression numérique » mais sur des écrans comme l'a fait David Hockney (un artiste Anglais contemporain qui fait des Digital Painting et que j'aime aussi beaucoup).me semble aussi être une expérience intéressante . Dans tout les cas la problématique de comment montrer mon travail m'intéresse. Actuellement comme je n'expose plus, je montre principalement mon travail artistique sur les réseaux sociaux (Instagram, Facebook, X, Tik-Tok). Où, je réinjecte mes images que j'avais trouvé sur les réseaux sociaux, dans ceux-ci, pour les réinjecter sur la toile du Net (Internet), et pourquoi aussi sous forme de NFTs (je suis sur les plateformes Opensea et Rarible)..
Diplome National d'Arts Plastiques Option Communication
Atelier Mildred Thomson (artiste peintre américaine).
Atelier préparations aux écoles d'arts "Neufville Comte".
Beaux Arts candidat libre atelier Alain Challier.
Ecole nationale d'arts plastiques de Cergy-Pontoise.
Cours de peintures avec un peintre Roumain Georgesco Nicolas.
Atelier communale Soulage Charenton.
Atelier d'art vivant Saint Maur
Illustration de la couverture du livre "Pratique de formateur en Picardie".
Illustration de la couverture du roman "l'acharnement" de Jean-marc Miquet collection l'Hartmatan.
Décoration d'un entrepôt de la société Habitat Erasny 95.
Participation à la réalisation d'une borne Interactive avec écran tactile au Pub Renault à Paris pour le tour d'Europe à la voile avec la société Alizée Europe.
Expositions collectives:
Brie Comte Robert, Santeny, l'Isle sur Serein, Aubais, Vitry sur Seine, Salon de Charenton, Saint Maur, Hazay le rideau, Salon du Val de Marne, Galerie Actée (Charenton le Pont),Vitry avec L'UAPV, L'Ailleur'Studio (Paris 75011), Luna Grande Arte (Istanbul en TURQUIE), Thomson Gallery (Zug en SUISSE), "Woman" Galleria Casa cava (Matera en ITALIE), Galerie Casa del Arte (Palma en ESPAGNE), Avec ArtBoxy dans une Galerie éphémère (75006 Paris).
Expositions personnelles:
L'Ailleur'Studio Paris 75011,
Galerie Actée Charenton le pont,
Médiathèque de Brie Comte Robert,
Office du tourisme syndicat d'initiative de Clamart.
Marché Bio Adama. (Charenton le Pont).
Restaurant: "Chez Driss" (à Paris).
Bar restaurant: "Les amis" (Paris).
1991 Prix Paul Ricard ("image Rock" infographique) IMAGINA Monaco.
Atelier Mildred Thomson (artiste peintre américaine).
Atelier préparations aux écoles d'arts "Neufville Comte".
Beaux Arts candidat libre atelier Alain Challier.
Ecole nationale d'arts plastiques de Cergy-Pontoise.
Cours de peintures avec un peintre Roumain Georgesco Nicolas.
Atelier communale Soulage Charenton.
Atelier d'art vivant Saint Maur
Illustration de la couverture du livre "Pratique de formateur en Picardie".
Illustration de la couverture du roman "l'acharnement" de Jean-marc Miquet collection l'Hartmatan.
Décoration d'un entrepôt de la société Habitat Erasny 95.
Participation à la réalisation d'une borne Interactive avec écran tactile au Pub Renault à Paris pour le tour d'Europe à la voile avec la société Alizée Europe.
Expositions collectives:
Brie Comte Robert, Santeny, l'Isle sur Serein, Aubais, Vitry sur Seine, Salon de Charenton, Saint Maur, Hazay le rideau, Salon du Val de Marne, Galerie Actée (Charenton le Pont),Vitry avec L'UAPV, L'Ailleur'Studio (Paris 75011), Luna Grande Arte (Istanbul en TURQUIE), Thomson Gallery (Zug en SUISSE), "Woman" Galleria Casa cava (Matera en ITALIE), Galerie Casa del Arte (Palma en ESPAGNE), Avec ArtBoxy dans une Galerie éphémère (75006 Paris).
Expositions personnelles:
L'Ailleur'Studio Paris 75011,
Galerie Actée Charenton le pont,
Médiathèque de Brie Comte Robert,
Office du tourisme syndicat d'initiative de Clamart.
Marché Bio Adama. (Charenton le Pont).
Restaurant: "Chez Driss" (à Paris).
Bar restaurant: "Les amis" (Paris).
1991 Prix Paul Ricard ("image Rock" infographique) IMAGINA Monaco.
Article de Presse (INFO CLAMART) Février 2007 Exposition à l'Office du Tourisme de Clamart.
Stéphane PRUVOT est diplômé d'arts plastiques (Cergy-Pontoise en 1992). Sa peinture est un cheminement entre l'abstrait et le figuratif: Il choisit un sujet, le prend en photo numérique, l'imprime puis la repeint dans un ordre défini en laissant entrevoir l'image initiale à certains endroits. La nouvelle image obtenue est ensuite repeinte en lui donnant des accents et du rythme pour finaliser la création.
Ceci n'est pas un puzzle
Ou alors d'une liberté assez époustouflante. Quel "casse-tête"! On ne peut pas dire que le peintre soit tombé dans la facilité. Comment s'y retrouver là-dedans? Ou peut-être comment s'y perdre? La vie n'est pas simple, pour quelles raisons l'art le serait-il obligatoirement? Nous voyons les couleurs définir des "parcelles", comme si chaque élément trouvait sa place, leurs frontières servant de liens (comme des "routes"). Faisant apparaître un "paysage abstrait" de la complexité, de la beauté, qu'il y a à la construire. Avec cette peinture, Stéphane Pruvot: C'est la vie effervescente qui "s'expanse".
(Texte de Yve Sanz. 2016, pour le Catalogue de l'exposition des 50 ans de l'Union des Arts Plastique de Vitry).
Ou alors d'une liberté assez époustouflante. Quel "casse-tête"! On ne peut pas dire que le peintre soit tombé dans la facilité. Comment s'y retrouver là-dedans? Ou peut-être comment s'y perdre? La vie n'est pas simple, pour quelles raisons l'art le serait-il obligatoirement? Nous voyons les couleurs définir des "parcelles", comme si chaque élément trouvait sa place, leurs frontières servant de liens (comme des "routes"). Faisant apparaître un "paysage abstrait" de la complexité, de la beauté, qu'il y a à la construire. Avec cette peinture, Stéphane Pruvot: C'est la vie effervescente qui "s'expanse".
(Texte de Yve Sanz. 2016, pour le Catalogue de l'exposition des 50 ans de l'Union des Arts Plastique de Vitry).
Texte écrit suite à la visite de l'exposition à l'Ailleur'Studio, de Isabelle T, elle fait partie d'un atelier d'écriture du GEM au Halles à Paris auquel mon ami Pascal Dandois Participe. 2017
Ensuite, il y a "l'autre" à l'expo de Pascal. Le peintre sans nom, Stéphane de son prénom, qui ébouriffe les couleurs à les faire s'exploser et s'exposer en toute splendeur. Craie grasses, feutres et pinceaux, il travaille parfois sur des copie-photos. Sur ses toiles, pas d'étoile dans les cieux mais des patchs colorés accolés les un aux autres pour harmoniser ciels, maisons, nature et personnages. Chez Stéphane, c'est tous les jours la fête: Patchworks de couleurs vives et pleines de gaité tel un mariage divin célébrant la Victoire des anges, et l'orangé toujours qui "signe" ses tableaux.
Isabelle THIRIOUX